mercredi 18 février 2009

Capsule grammaticale sur les anglicismes.

Comparaison entre la grammaire de Riegel, le Multidictionnaire de Marie-Eva de Vilers et la grammaire pédagogique d’aujourd’hui de Suzanne Chartrand concernant les anglicismes.
Dans le (Multi p.16), il y a un tableau récapitulatif de trois types d’anglicismes dont l’anglicisme lexical ou formel, l’anglicisme sémantique (faux ami) et l’anglicisme syntaxique(calque) avec une courte définition suivi d’exemples pour chacun d’eux. Au bas de la page il indique un renvoie à anglais.
Pour ce qui est de la grammaire de Riegel, il n’y a aucun point de repère qui fait mention de l’anglicisme dans son ouvrage.
Et enfin, dans la grammaire pédagogique de S. Chartrand, le repère d’anglicisme est présent et indique trois pages où il traite du sujet p.307, 338-339. À la page 307, dans la section lexique, il est question de l’apport anglo-saxon qui indique quelques anglicismes utilisés les plus fréquemment au Québec et dans les secteurs industriels de ceux-ci. Par contre, à la page 338, elle en parle clairement dans une courte définition et elle définit trois types d’anglicisme dont, les anglicismes de mots, de sens et des calques suivi à la page 339 d’une liste des anglicismes critiqués avec leur équivalent français et en toute fin pour en savoir plus elle renvoie donc à un dictionnaire d’anglicismes.
Pour conclure, afin de pouvoir bien comprendre ce phénomène, il faut impérativement consulter plusieurs ouvrages pour être bien certain d’avoir affaire à un anglicisme.

Commentaire sur la logique et la grammaire.

Un commentaire sur l’article donné en classe le 10 février 2009 : La logique en grammaire traditionnelle et en grammaire d’aujourd’hui.
Si la grammaire n’aurais pas de logique alors elle n’existerait pas car, depuis le début de l’histoire de la grammaire, par exemple : Aristote a composé une «Logique» (l’Organon), étude des formes de l’énoncé* et de ses enchaînements. Ensuite, pour la grammaire traditionnelle, c’est la structure logique de la proposition qui donne un sens logique à toute démarche grammaticale, notamment syntaxique. Ainsi qu’à la fin du XIXe siècle, l’enseignement développe en parallèle à une «analyse grammaticale», qui consiste à repérer l’appartenance d’un mot à une partie de langue. Et au XXe siècle, l’intérêt de la logique pour la notion de grammaire se retrouve chez plusieurs auteurs, comme Edmund Hursserl (vers 1900), Bertrand Russel (1872-1970), Gottlob Frege (1848-1925) et Hans Reichebach. Donc, le combat qui persiste concernant à dissocier logique et grammaire n’aurais pas lieu d’être car si la grammaire ne serais pas logique il n’y en aurait tout simplement pas.

lundi 2 février 2009

Présentation d'une grammaire.

La grammaire de Ramus a été éditée en 1572 à Paris de l’imprimerie André Wechel. Pierre de La Ramée (1515-1572) dit Petrus Ramus est un logicien et philosophe français. Maître des arts à 21 ans, il a enseigné dans plusieurs collèges, une grande partie de sa vie. Il a également écrit trois grammaires : Grammatica latina (1548) Grammatica Graeca (1560), Grammaire Française (1562) ainsi que plusieurs autres oeuvres importantes. Parmi les observations que nous avons pu faire en feuilletant la préface de la grammaire, il y a entre autre le fait qu’elle a été écrite afin de permettre aux rois de France de pouvoir communiquer avec son peuple. Ils désiraient inculquer à celui-ci, une langue pouvant être à la fois universelle et pouvant être comprise malgré les différences de classes sociales. Ils voulaient également établir les règles d’usage dans leurs communautés linguistiques permettant ainsi à tous locuteurs de se comprendre entre eux.

Source: Wikipédia; http://fr.wikipedia.org/wiki/Pierre_de_La_Ram%C3%A9e).
Vous pouvez visionné la grammaire de Ramus (1572) à cette rubrique: http://visualiseur.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k50850r